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Pour la Fête des Mères, rencontrez notre fondateur et PDG William Forshaw, accompagné de la femme qui l’a toujours guidé – sa maman Jacqueline. Cette interview mère et fils est l’occasion de revenir sur l’histoire de famille à la genèse de Maxwell-Scott.
Jacqueline est arrivée rayonnante et chaleureuse dans nos bureaux du nord de l’Angleterre pour cet échange mère et fils. Une fois assise, elle nous raconte comment avec William, directeur et fondateur de Maxwell-Scott, mais avant tout son fils, ils ont créé la compagnie et travaillé ensemble durant ses premières années.
C’est d’ailleurs à Jacqueline que l’on doit le nom de Maxwell-Scott, combinaison des deuxièmes prénoms de ses deux fils, William et son frère.
C’est également Jacqueline qui a la première exploré l’industrie du cuir traditionnelle. Elle a commencé en rapportant au Royaume-Uni des sacs en cuir achetés en Italie pour approvisionner de petites boutiques. C’est cette activité et cet esprit d’entrepreneuriat qui ont poussé William à s’impliquer et à construire la marque Maxwell-Scott telle que l’on la connaît aujourd’hui.
Jacqueline a très tôt perçu cet esprit d’entrepreneur chez son fils. William, confie-t-elle, a toujours été très indépendant et elle savait qu’un jour il posséderait son propre business. Néanmoins, elle avait également d’autres ambitions pour son fils lorsqu’il était enfant. Elle évoque notamment – à côté d’un William embarrassé – sa brève carrière d’enfant acteur. On peut notamment apercevoir William dans un téléfilm avec Courtney Cox, connue pour son rôle dans la série à succès Friends. Jacqueline évoque avec tendresse les moments qu’ils ont passés ensemble sur des plateaux de tournage.
L’harmonie qui émane des souvenirs partagés montre indéniablement que mère et fils ont toujours bien travaillé ensemble. Il y a une complicité et un respect mutuel évidents lors de leurs échanges. Rien qu’en les regardant ensemble lors de la séance photo de cette interview, la symbiose était flagrante.
Ce fût l’idée de William de rejoindre sa mère dans son commerce de sacs en cuir. Et Jacqueline reconnaît que c’était le choix parfait pour lui. Tous deux évoquent avec bonheur les moments qu’ils ont partagés à cette période la plus occupée et intense de leurs vies. C’est grâce à ce dynamisme, affirme William, que Jacqueline a été une grande source d’inspiration pour lui au fil des années. Elle lui a donné l’architecture de la marque et la volonté de faire croître l’entreprise.
Au début de Maxwell-Scott, mère et fils passaient des heures à conduire de clients en clients – occasionnant quelques expériences de dépanneuse. William se remémore en particulier d’une fois où il a traversé Londres sa voiture remplie de produits pour les vendre en direct à ses clients professionnels. Ils se rappellent également en riant d’un déjeuner d’affaires à Clapham, où Jacqueline avait décrit et vanté sa belle voiture neuve à ses interlocuteurs. Voiture qui s’est avérée être du même modèle que le véhicule croisé par ses convives juste avant le repas sur une dépanneuse…
La fierté éprouvée par Jacqueline pour son fils et le site ecommerce international qu’il dirige désormais est encore plus grande au regard du long chemin parcouru.
Les petites histoires comme celles-ci mettent en valeur la profonde relation de ce duo mère et fils. Dans les premiers temps, ils passaient des heures au téléphone à réfléchir aux moyens de faire croître leur affaire. Malgré le développement de l’entreprise, la philosophie de la marque est restée la même depuis ses débuts : créer des pièces intemporelles à chérir, mais surtout à utiliser jour après jour. Jacqueline se réjouit que William ait toujours suivi cette vision, sans jamais changer de ligne directrice et d’ambition. Le business familial continue d’honorer le savoir-faire italien et le cuir de qualité développant une patine exceptionnelle en vieillissant.
Bien que Jacqueline ne fasse plus partie du quotidien de Maxwell-Scott, William continue de faire appel à elle pour discuter des projets à venir. Jacqueline admet c’est William qui a eu le courage porter la marque Maxwell-Scott au niveau supérieur, même si la base qu’elle ait construite soit indéniable.
Pour Jacqueline, le plus grand accomplissement de William pour Maxwell-Scott a été son déménagement de Londres à York. En admirant les bureaux où elle se trouve, elle rappelle à William de ne jamais oublier d’où ils viennent : la “bataille de Londres”. Le travail acharné qu’implique de travailler dans l’environnement londonien est en totale opposition avec la petite équipe que William et sa femme Charlotte ont constituée dans cette ville historique du nord de l’Angleterre. Jacqueline en profite pour souligner à quel point Charlotte et son propre mari Peter ont également été parties intégrantes de l’aventure Maxwell-Scott. En tant que maman, soutenir ceux qui l’entourent fait réellement partie de la personnalité de Jacqueline, et William est le premier à bénéficier de ce soutien sans faille.
William et Jacqueline concluent cette interview mère et fils en expliquant l’importance de construire des relations. Le duo reconnaît que c’est ainsi qu’ils en sont arrivés là aujourd’hui. Leur relation constitue la base fondatrice de Maxwell-Scott. Une relation fusionnelle, associée à une véritable passion. Lorsqu’elle vient pour une visite, Jacqueline est toujours dans l’entrepôt, parmi les produits qu’elle a en grande partie créés. La mère et le fils ont ainsi construit, ensemble, une marque au rayonnement international, qui reste fidèle aux valeurs définies par Jacqueline à l’origine.
